Chapitre 1

Chapitre 1 – Espaces et paysages de l'urbanisation : géographie des centres et périphéries



Problématique : Quels types d'espaces et de paysages sont créés par l'urbanisation du monde ?

I. Comment les paysages urbains de Londres sont-ils le reflet de son attractivité ?

JE RETIENS
Depuis 2007, une personne sur deux habite en ville. Cette croissance urbaine est inégale.
Toutes les villes s'organisent autour d'un centre, qui est l'espace le plus fréquenté. En Europe, le centre-ville est caractérisé par un patrimoine ancien, riche en monuments. Dans les villes les plus récentes, le centre est le quartier des affaires, reconnaissable à ses gratte-ciel. En effet, dans le centre de Londres ont y trouve des activités économiques et financière mais également politique avec le quartier des affaires comportant des bureaux et les sièges de multinationales. Londres concentre 368 00 emplois, abrite la Bourse de Londres (3e place mondiale), comporte plus de 500 banques du monde entier et des sièges de nombreuses multinationales.
Les centres des villes sont entourés de couronnes urbanisées : les banlieues, et au-delà, les espaces périurbains. Les citadins quittent le centre-ville pour s'installer dans des espaces périphériques proches, dans des maisons individuelles. Par exemple ; à Londres, la population s'installent de plus en plus dans l'aire métropolitaine*. Elle est passée d'environ 7 millions en 1990 à presque 9 millions en 2015. Les habitants vivent tout même essentiellement dans le Grand Londres, c'est-à-dire en banlieue, plutôt que dans la ville centre.
VOCABULAIRE :
 



II. Pourquoi Detroit est-elle une métropole au coeur dévasté, en marge des réseaux de la mondialisation ?

JE RETIENS
Depuis 1960, les émeutes raciales font fuir les Blancs des classes moyennes vers les banlieues car la ville de Detroit voit augmenter sa criminalité et son insalubrité. La fin de l'âge d'or de l'automobile entraîne le déclin progressif de la ville et la crise économique de 2007 ne fait qu'aggraver la situation. Detroit passant alors de presque 2 millions d'habitants à moins de 700 000.
L'exode des populations du centre ne fait qu'aggraver l'insalubrité et l'insécurité de certains quartiers de Detroit. La ville fantôme de 370 kilomètres carrés (l'équivalent de Paris) se retrouve vide, parsemée de maisons abandonnées, de rues désertes et d'enseignes fermées. La ville tente cependant de se relever avec l'ouverture de magasins et commerces, ainsi qu'en lançant une campagne de marketing pour faire investir les entrepreneurs. 

 

III. Comment les villes s'intègrent-elles à la mondialisation ?







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